Un simple test d’urine permettrait une détection précoce du cancer de la vessie, selon une étude de l’OMS

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Selon cette étude, les mutations génétiques fréquentes en cas de cancer de la vessie ont pu être détectées plus de dix ans avant, sur près de la moitié de patients ayant ensuite déclenché un cancer de la vessie.

La recherche sur la détection du cancer de la vessie progresse. Un simple test d’urine permettrait de détecter des mutations génétiques annonciatrices de ce type de cancer plus de dix ans avant que soit posé le diagnostic, indique l’agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la recherche sur le cancer (CIRC/IARC), jeudi 20 février.

Ce test détecte les mutations du gêne TERT, les plus fréquentes en cas de cancer de la vessie, précise le CIRC dont le siège est à Lyon. Il pourrait permettre de réduire l’utilisation d’outils invasifs et d’améliorer « significativement » la détection précoce de la maladie, explique le docteur Florence Le Calvez-Kelm, chercheuse au CIRC et l’une des principales rédactrices de l’étude publiée lundi dans la revue EBioMedecine. 

Pour mener ses recherches, l’agence a collaboré avec plusieurs partenaires universitaires et notamment avec l’université des sciences médicales de Téhéran (Iran), qui disposait d’échantillons d’urine de quelque 50 000 Iraniens.

Les résultats ont montré que les mutations génétiques ont pu être détectées plus de dix ans avant sur 46,7% des échantillons de patients ayant ensuite déclenché un cancer de la vessie.

Ces tests pourraient servir à dépister les sujets à haut risque de développer ce cancer. Ces recherches doivent maintenant être validées par d’autres études.

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