la L1 privilégie le 23 août pour débuter la saison prochaine

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A l’arrêt à cause de la pandémie de coronavirus, le foot français, qui espère toujours reprendre son championnat mais est dépendant des autorités pour imaginer sa reprise, tente depuis plusieurs semaines d’établir des scénarios. A défaut de pouvoir acter une date de reprise pour la fin de saison 2019-2020, c’est sur celle du début de la saison suivante que le Bureau de la LFP a réfléchi.

La date du 23 août pour la Ligue 1, et celle du 22 août pour la Ligue 2, a été arrêtée vendredi matin à l’unanimité au cours d’une réunion de plus de trois heures, selon plusieurs sources proches du dossier. “Cela donne des bases claires”, se justifie l’une d’entre elles, tout en insistant que ces dates sont “sous réserves du calendrier de l’UEFA et de l’évolution de la situation sanitaire”. “Cela permet de sécuriser la saison prochaine”, celle du nouveau cycle des droits TV (2020-2024), dépassant pour la première fois le milliard d’euros annuel, explique une autre source proche du dossier.

“Trois semaines de réathlétisation” entre les deux saisons

Dans ce scénario, même si la fin de saison actuelle est repoussée jusqu’à début août, comme l’UEFA l’a recommandé jusque là selon ces mêmes sources, cela laissera “trois semaines de réathlétisation” entre les deux saisons. Depuis plusieurs jours, certains présidents, comme Bertrand Desplat (Guingamp), avaient insisté sur l’importance de fixer avant tout une date pour le début de la saison prochaine.

“Il ne faut pas qu’une reprise à la Saint Glin-Glin reporte le problème sur le championnat suivant”, avait par exemple martelé auprès de l’AFP Pierre Wantiez, directeur général du Havre (L2). “La vraie question c’est le rétroplanning: quelle est la date ultime pour bien démarrer 2020-2021.” La proposition, partagée initialement par 19 clubs de L2 et sept clubs de L1 (Dijon, Amiens, Lyon, Angers, Brest, Metz, Strasbourg), auxquels s’est depuis ajouté un 8e club de l’élite (Nîmes), visait, selon une source proche du dossier, à “privilégier le contrat de Mediapro”, futur diffuseur du Championnat, par rapport aux contrats de Canal+ et beIN Sports, actuels diffuseurs ayant gelé leurs versements. “De cette manière, on peut prendre la question à l’envers et décliner tout le calendrier à partir de cela”, poursuit-on de même source.

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