Miami, c’est renversant !


Comme lors du match 1, le Heat s’est offert une jolie remontée avant de dominer les Celtics (106-101), prenant ainsi le large (2-0) dans ces Finales de la conférence Est.

On n’arrête plus le Heat. Après avoir sweepé les Pacers au premier tour (4-0) puis étrillé les Bucks, pourtant la meilleure équipe de la Ligue en saison régulière (4-1), les Floridiens poursuivent leur démonstration de force face aux Celtics. Vainqueurs du match 1 en prolongation, les hommes d’Erik Spoelstra ont en effet remis le couvert lors du match 2 en l’emportant 106-101, signant ainsi un 10e succès en 11 rencontres depuis le coup d’envoi des playoffs.

Et comme lors de la manche inaugurale face à la franchise du Massachusetts, la partie était pourtant mal engagée. Car après avoir déjà compté jusqu’à 14 points de débours deux jours auparavant, les Floridiens ont cette fois accusé pas moins de 17 longueurs de retard en fin de  deuxième quart (43-60).  Mais une fois encore, le Heat a finalement eu vite fait de renverser les Celtics puisque moins de dix minutes plus tard et un impressionnant 29-11, c’est bien Miami qui était devant (72-71).

Une victoire collective

Le match avait tourné et si les troupes de Brad Stevens ont bien tenté de résister, menant même encore de cinq points (89-94) à l’entame des cinq dernières minutes, la fin de match a été à sens unique et Miami l’a finalement emporté 106-101.

Et une fois encore, la victoire du Heat a été collective. Ainsi si Goran Dragic a de nouveau été le plus en vue, terminant même meilleur marqueur de la rencontre avec 25 points à 10 sur 19 aux tirs, Bam Adebayo a suivi avec 21 points à 10 sur 16, 10 rebonds et 5 passes et Duncan Robinson a ajouté 18 points. Moins en vue qu’à l’habitude, Jimmy Butler n’en a pas moins ajouté 14 points et 4 interceptions. Côté Celtics, Kemba Walker et Jayson Tatum, respectivement auteurs de 23 et 21 points, n’ont pas démérité, mais leurs efforts n’ont pas suffi. Pas plus que ceux de Jaylen Brown, lui aussi auteur de 21 points.

Désormais dos au mur, Boston a désormais deux jours pour trouver la faille avant le match 3.

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