de Nice à Paris, dans la roue d’un Tour de France qui avait peur de promener un cluster


EN COULISSES (2/6) – Le monde du sport n’aura pas été épargné par le Covid-19 tout au long de l’année 2020. Preuve en est avec le travail de nos reporters sur le terrain, comme sur ce Tour de France aussi inédit qu’insolite dont on vous narre les coulisses.

Le Tour de France est un voyage. Avec ses mystères, ses décors de cartes postales, ses chemins de traverse, ses coups de soleil, ses sueurs froides, ses sourires, ses coups de cœur, ses larmes, ses rumeurs, ses polémiques, ses scandales. L’édition 2020, déplacée, une première dans son histoire, de juillet à fin août (pour un défilé sur les Champs-Élysées le 20 septembre) en raison de la crise sanitaire, a concentré tout cela et ajouté la force de l’inédit.

À Nice, dans un département qui venait d’être classé en zone rouge, la fête a débuté derrière des masques, des barrières et des palissades. Le Tour conservait le décorum mais imposait un dispositif qui devait lui permettre de lancer, puis de poursuivre son périple. Préoccupée, la Grande Boucle se préparait à libérer un défilé allégé (zone technique réduite, comme la caravane publicitaire, le protocole de la remise des maillots, les plateaux télé…). Avec des spectateurs maintenus à distance. Sans jamais couper le cordon ombilical.

Pas d’échange dans le paddock à la sortie des cars

Lors

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