Programmation Cannes Classics 2021 – Liste complète – Crumpe


Le Festival de Cannes a dévoilé la programmation de sa section Cannes Classics 2021. Composée d’une sélection de copies restaurées, la liste comprend également de nouveaux documentaires qui explorent l’histoire du cinéma. Parmi les offres se trouve le doc de pré-ouverture de Mark Cousins, Les tempêtes de Jeremy Thomas, qui couvre un trajet annuel avec le producteur britannique de Londres à Cannes. Cousins ​​et Thomas seront en ville pour la présentation. (Faites défiler vers le bas pour la liste complète des Cannes Classics.)

Les titres restaurés incluent 2001 de David Lynch Mulholland Drive; 1945 Je sais où je vais ! par Michael Powell et Emeric Pressburger ; Drame de 1991 de Krzysztof Kieślowski La double vie de Véronique; Orson Welles’ F pour faux à partir de 1973 ; et La mort de l’amitié de Peter Wollen qui présente le premier rôle de Tilda Swinton.

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Parmi les événements spéciaux sont un hommage au réalisateur et acteur Bill Duke qui présentera son 1985 Le sol meurtrier qui a été créée à la Semaine de la critique cette année-là; 1955 de l’actrice et cinéaste japonaise Kinuyo Tanaka Tsuki Wa Noborinu (La Lune s’est levée); L’actrice, réalisatrice, scénariste et productrice espagnole Ana Marisca’s Le chemin (Le chemin) à partir de 1964 ; Marcel Camus Orphée noir (Orfeus noirs), qui a remporté la Palme d’Or en 1959 ; celle de Roberto Rossellini Francesco, bouffon de Dieu (Les Fleurs de Saint François) à partir de 1950 ; et 1935 Meurtre à Harlem d’Oscar Micheaux, le premier réalisateur afro-américain de l’histoire du cinéma américain, ainsi que du documentaire Oscar Micheaux — Le super-héros du cinéma noir par Francesco Zippel qui sera à Cannes.

LES CLASSIQUES CANNES

RESTAURATION

La Drôlesse (The Hussy) by Jacques Doillon (1978, France)

Je sais où je vais ! de Michael Powell et Emeric Pressburger (1945, Royaume-Uni)

Lumumba : Mort d’un prophète de Raoul Peck (1990, France/Allemagne/Suisse/Belgique/Haïti)

La mort de l’amitié de Peter Wollen (1987, Royaume-Uni)

Bal Poussière de Henri Duparc (1989, Côte d’Ivoire)

La double vie de Véronique de Krzysztof Kieślowski (1991 France / Pologne)

F pour faux de Orson Welles (1973, 1h25, France/Iran/Allemagne)

Yashagaike (Étang des démons) de Masahiro Shinoda (1979, Japon)

La Guerre Est Finie (The War Is Over) d’Alain Resnais (1966, France)

Échec Au porteur (Not Delivered) de Gilles Grangier (1957, France)

Chère Louise (Louise) de Philippe de Broca (1972, France/Italie)

Journal de mes enfants de Márta Mészáros (1983, Hongrie)

Quand le chat vient (Le chat Cassandra) de Vojtech Jasný (1963, République tchèque)

Monanieba (Repentir) de Tenguiz Abouladzé (1984, Géorgie)

Dan Cetrnaesti (Le quatorzième jour) par Zdravko Velimirovic
(1960, Monténégro / Serbie)

Le chemin de l’espoir (Le chemin de l’espoir) de Pietro Germi
(1950, Italie)

Lettre d’une femme inconnue de Max Ophüls (1948, États-Unis)

Mulholland Drive de David Lynch (2001 États-Unis)

DOCUMENTAIRES

Les tempêtes de Jeremy Thomas (ROYAUME-UNI)

Satoshi Kon, L’Illusionniste par Pascal-Alex Vincent (France/Japon)

Buñuel, un cinéaste surréaliste de Javier Espada (Espagne)

Tout sur Yves Montand par Yves Jeuland (France.)

L’histoire du cinéma : une nouvelle génération par Mark Cousins ​​(Royaume-Uni)

Et J’aime A La Fureur (Flickering Ghosts Of Love Gone By) par André Bonzel (France)



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