«Les propriétaires-investisseurs font vivre des clubs de rugby qui, sans eux, n’existeraient pas»

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Après un an et demi à subir la crise sanitaire, les clubs professionnels sont en difficulté. Le nouveau président de la Ligue Nationale de Rugby dresse, pour Le Figaro, l’état des lieux. Et évoque des pistes pour améliorer le modèle économique.

Le Figaro : Vous devez être heureux de revoir enfin du public dans les stades…
René Bouscatel : La saison dernière a été très anxiogène. Semaine après semaine, on se remettait en cause pour espérer terminer la saison. On y est parvenu grâce à tous les acteurs. Ça a été un grand soulagement d’arriver au bout. Repartir avec du public, ça n’a pas de prix.

Dans quel état sont les finances des clubs ?
Je n’ai pas encore reçu le rapport final de la DNACG (le gendarme financier du rugby, NDLR). Mais, dans l’ensemble, les clubs de Pro D2 ont été moins touchés, les aides de l’État étant en adéquation avec les salaires des joueurs de Pro D2. En revanche, en Top 14, les clubs ont beaucoup souffert. Il va falloir reconstituer des fonds propres. Et ce sera plus compliqué pour les clubs qui vivent sur une économie réelle que pour ceux bénéficiant d’un mécène ou d’un président-investisseur.

De quel ordre est le manque à gagner cumulé pour les trente clubs professionnels ?
Je dirais aux

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