Comment le volley français s’organise pour surfer sur l’or olympique


DÉCRYPTAGE – Fort de son sacre aux Jeux de Tokyo, le sport collectif cher à Earvin Ngapeth veut désormais sortir de l’ombre.

Le 7 août dernier, l’équipe de France de volley a écrit la plus belle page de son histoire en décrochant le titre olympique à Tokyo. Une consécration pour son sélectionneur d’alors, Laurent Tillie, auteur d’un travail remarquable pendant neuf ans pour permettre à l’autoproclamée «Team Yavbou» d’exploiter pleinement son potentiel. En arrivant au sommet de l’Olympe, les Bleus ont réalisé leur rêve. Mais pour la discipline dans son ensemble, ce sacre au Japon ne doit être qu’une étape, forte, vers une pratique et une reconnaissance accrues. Avant même de s’envoler pour la capitale nippone, Earvin Ngapeth, la tête de gondole du volley hexagonal, avait d’ailleurs annoncé la couleur dans nos colonnes: «Pour notre discipline, les Jeux demeurent le meilleur moyen d’exister en France. Donc il faut qu’on se retrousse les manches, car une grande performance à Tokyo changerait tout

La médaille d’or autour du cou, Ngapeth et consorts attendent désormais de voir la suite, qui ne leur appartient plus

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