Le Dow Jones travaille sur son plus grand retour en 9 mois alors que les investisseurs sont aux prises avec la flambée des prix de l’énergie et l’affrontement du plafond de la dette


Un retour pour les âges, ce n’est pas le cas. Mais les tentatives du Dow Jones Industrial Average et du Nasdaq Composite Index mercredi de terminer en territoire positif seraient l’un de leurs plus gros retours depuis des mois.

Au dernier contrôle, le Dow DJIA,
+0.30%
se négociait près du seuil de rentabilité mais en territoire négatif, mais s’il finissait dans le vert, cela marquerait le plus grand redressement intrajournalier de l’indice des blue chips depuis le 21 décembre 2020, selon les responsables de Dow Jones Market Data. L’indice pondéré par les prix avait baissé de 1,3% au plus bas de mercredi.

Pendant ce temps, le Nasdaq Composite COMP assiégé,
+0.47%
se négociait en hausse de 0,2% et avait baissé de 1,2% autour de son nadir intrajournalier. Si l’indice chargé de technologie parvient à terminer positivement la session tumultueuse, il représenterait son meilleur retour depuis le 25 mars.

L’indice Dow, Nasdaq Composite et S&P 500 SPX,
+0.41%
tout a démarré lamentablement mercredi alors que les inquiétudes concernant l’inflation et le débat sur le plafond de la dette à Washington ont jeté un voile sur Wall Street et ont atténué un revirement mardi qui a aidé les actions à retrouver une partie de leur éclat haussier.

Le marché boursier a commencé à prendre de l’altitude mercredi alors que le chef de la minorité sénatoriale, Mitch McConnell, a été vu étendre une branche d’olivier aux démocrates lors de pourparlers budgétaires tendus qui ont le plafond de la dette en ligne de mire. McConnell a fait une nouvelle offre au Sénat dirigé par les démocrates pour “utiliser les procédures normales pour adopter une extension d’urgence de la limite de la dette à un montant fixe en dollars pour couvrir les niveaux de dépenses actuels jusqu’en décembre”, le républicain du Kentucky, dit dans un communiqué.

Un affrontement sur le budget américain s’il n’est pas résolu d’ici le 18 octobre pourrait entraîner un défaut du gouvernement américain en raison de l’impasse sur le plafond de la dette, ce qui a incité le président Joe Biden et la secrétaire au Trésor Janet Yellen à mettre en garde contre d’éventuels dommages économiques majeurs.

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