«La littérature et le rugby préservent l’enfant qui est en nous»

[ad_1]

ENTRETIEN – Le journaliste Richard Escot a cherché à comprendre pourquoi ce sport inspire tant d’écrivains.

De grands noms de la littérature défilent, de Pierre Mac Orlan à Jean-Paul Dubois, en passant par Kléber Haedens, Julien Gracq, Antoine Blondin, Denis Tillinac et tant d’autres. Avec un point commun: leur attachement pour ce ballon ovale auquel ils ont consacré de nombreux chapitres. Coauteur avec l’écrivain Benoit Jeantet de Jeux de lignes (Éditions Privat), Richard Escot, journaliste et auteur d’une vingtaine d’ouvrages, décrypte pour Le Figaro le «trait d’union entre ces deux univers qui se nourrissent l’un de l’autre».

LE FIGARO. – Devenu professionnel, le rugby inspire-t-il encore les écrivains?

Richard ESCOT. – Bien sûr. Les salaires, les conférences de presse édulcorées, ça n’empêche pas qu’il y ait toujours des personnages. Le vrai problème, aujourd’hui, est dans la multiplication des visions: les images circulent sur les réseaux, les chaînes de télé. Ça tue le mythe.

L’âge d’or est donc terminé?

Il y a eu deux âges d’or. Le premier où le rugby est devenu le sport roi, dans les années 1920.

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 84% à découvrir.

Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.

Continuez à lire votre article pour 1€ le premier mois

Déjà abonné ?
Connectez-vous

[ad_2]

Loading

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*