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Adversaires des Bleus en quarts de finale, les Springboks, champions du monde sortants, impressionnent par leur force et leur efficacité. Mais ils ont aussi affiché quelques petites failles.
Une première tendance s’était rapidement dessinée. Et elle s’est finalement confirmée. La France, après son succès inaugural face à la Nouvelle-Zélande (27-13), a terminé en tête de la poule A et croisera donc la route, dimanche prochain (21h) au Stade de France, de l’Afrique du Sud, deuxième du groupe B après son revers face à l’Irlande (8-13). L’Écosse, dans cette «poule de la mort», n’a finalement pas réussi à jouer les trouble-fêtes.
Les Springboks n’ont croisé les Bleus qu’une seule fois en Coupe du monde. C’était à l’occasion de la demi-finale polémique remportée par les Boks (19-15) en 1995, après le déluge qui s’était abattu sur Durban. La solide équipe de Pierre Berbizier s’était vue refuser deux essais (Emile Ntamack puis Abdelatif Benazzi) par le très controversé arbitre gallois Derek Bevan.
Un pack d’airain mais un jeu qui a évolué
Le rugby commence devant, dit-on. C’est encore plus vrai en Afrique du Sud qui a, de tout temps, pu compter sur des «golgoths» surpuissants, massifs, qui jouent à la limite de la brutalité…
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