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Lors de son déplacement à Mulhouse, Emmanuel Macron évitera cette mosquée en construction, gérée par l’Association des musulmans d’Alsace, proche des Frères musulmans.
Ses responsables aimeraient attirer Emmanuel Macron à la mosquée An-Nour de Mulhouse. Mais le président de la République n’a pas prévu de se rendre sur le chantier de cette «mosquée cathédrale», gérée par l’Association des musulmans d’Alsace (Amal), proche des Frères musulmans, et symbole du séparatisme que le chef de l’État entend combattre.
D’une superficie de plus de 4000 mètres carrés au sol, An-Nour est l’une des plus grandes mosquées en construction en France. Avec son espace commercial, son groupe scolaire, sa morgue, sa piscine et ses espaces coiffure et fitness CrossFit, c’est un «centre de vie» conforme à l’idéologie frériste d’un islam global, de la naissance jusqu’à la mort. Mais An-Nour est aussi l’exemple du financement étranger de l’islam de France que Macron veut assécher.
Pression de l’État
L’ONG qatarienne Qatar Charity l’a financée à hauteur de 14 millions d’euros, soit la moitié de son coût total. Mais depuis les révélations au printemps dernier des Qatar Papers, Qatar Charity a fermé les
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