Emmanuel Macron cherche la réponse au «séparatisme» islamiste

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Attendu ce mardi dans le Haut-Rhin à Mulhouse, le président veut placer sa visite sous le signe de la «reconquête républicaine».

Emmanuel Macron, et le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, lors d’une rencontre avec les représentants du Conseil français du culte musulman, à l’Élysée, le 28 octobre 2019.
Emmanuel Macron, et le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, lors d’une rencontre avec les représentants du Conseil français du culte musulman, à l’Élysée, le 28 octobre 2019. Stephane Lemouton -POOL/SIPA/Stephane Lemouton -POOL/SIPA

Le premier étage d’un édifice qui en comptera de nombreux autres. À moins d’un mois des municipales, Emmanuel Macron est attendu ce mardi après-midi à Mulhouse (Haut-Rhin), pour une visite placée sous le signe de la «reconquête républicaine». Avec ce déplacement, le chef de l’État veut non seulement lancer son très attendu plan de lutte contre le «séparatisme islamiste». Mais, «acte 2» oblige, il entend surtout entrer de plain-pied dans la fameuse séquence régalienne de son quinquennat, qui doit le conduire jusqu’à la campagne de 2022.

Annoncée par l’Élysée depuis l’attentat à la préfecture de police de Paris, au mois d’octobre, cette stratégie a fait l’objet d’un intense travail interministériel. Les deux locataires de Beauvau, Christophe Castaner et Laurent Nuñez (Intérieur), ont été particulièrement mobilisés, de même que Jean-Michel Blanquer (Éducation nationale) et Gabriel Attal (Jeunesse), ou encore Sébastien Lecornu (Collectivités territoriales) et Roxana Maracineanu (Sports). Ensemble,

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