Charly Gaul et la légende des grimpeurs

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DÉTOUR DE FRANCE (5/7) – Le coureur luxembourgeois s’est hissé au sommet du Tour après un exploit dans le massif de la Chartreuse douché par une pluie diluvienne.

Le Luxembourgeois, Charly Gaul, lors de la 21e étape du Tour de France, entre Briançon et Aix-les-Bains, le 16 juillet 1958.
Le Luxembourgeois, Charly Gaul, lors de la 21e étape du Tour de France, entre Briançon et Aix-les-Bains, le 16 juillet 1958. PRESSE SPORTS

Le Tour de France accompagne traditionnellement le début de l’été avec ses exploits, ses champions, ses drames, ses scandales et ses larmes. La pandémie de Covid-19 a contraint les organisateurs à reporter la Grande Boucle, qui devrait partir de Nice le 29 août. En attendant le Tour, Le Figaro revisite quelques-unes des épiques journées de juillet et quelques-uns de ses acteurs marquants.

Une journée particulière. Au départ (9 heures) de la 21e étape du Tour 1958 (Briançon-Aix-les-Bains), cinq cols se dressent, mais l’horizon s’efface vite sous un ciel d’encre. La lumière s’éteint pour laisser s’installer un théâtre d’ombres. Ce 16 juillet est l’un de ces jours où la peur est contagieuse. Certains perdent leurs moyens en ouvrant les volets au réveil. L’atmosphère les glace, la pluie les perfore, le vent froid se faufile déjà et coupe les jambes comme des lames de rasoir. D’autres voient dans les éléments déchaînés un formidable terrain de jeu. Charly Gaul était de ceux-là. Il suffisait

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