If the news felt innocuous in any form upon impact on Monday when PW Insider was first to report that Brock Lesnar and WWE had failed to come to terms on a new contract, it’s understandable. 

Lesnar is 43, has competed in mixed martial arts just once in nine years and still has half of his USADA suspension to serve from failed drug tests related to his last appearance in the Octagon. In pro wrestling, meanwhile, Lesnar has quietly drifted away since WWE took its most prestigious title off him at WrestleMania 36 in favor of Drew McIntyre. “The Beast Incarnate” wasn’t booked for SummerSlam last weekend and saw his merchandise pulled from WWE’s online store. 

Innocuous couldn’t be further from the truth, however. 

By taking into account his still impressive standing across all forms of combat — scripted or not — as a rare individual draw who can sell on name value and curiosity alone, the idea of Lesnar as a free agent for hire is big news alone. Add in the current climate from a business and competition standpoint in both MMA and pro wrestling as a whole, and Lesnar has the potential to become a massive disrupter in every scenario involving where he ends up. 

A notorious recluse as it pertains to doing media of any kind, Lesnar has yet to speak about his future intentions and whether that includes fighting again, two years removed from his last UFC tease when he shoved new heavyweight champion Daniel Cormier inside the Octagon after UFC 226 in July 2018. That hasn’t stopped media members, promoters and active fighters from both speculating on social media to outright challenging the former UFC heavyweight champion. 

The debate of whether Lesnar chooses MMA or pro wrestling might be moot considering the potential for him to moonlight between both should he negotiate that way. The bigger story revolves around how strategic it would be for industry leaders WWE and UFC to secure his services as a means to block competitors and how those same promotions could instantly be elevated to contenders by his arrival. 

In pro wrestling, Lesnar is largely a unicorn in that, because of his part-time schedule, he retains the status of being a special attraction in an era where over-saturation is typically the default given the hours of television to fill. Lesnar is almost more valuable because he’s treated as a premium product. In MMA, he certainly has a much shorter shelf life given his age — especially if matched too often against the current elites — and would be more profitable in one-offs that were creatively-matched. 

Either way, Lesnar will likely have no shortage of offers and opportunities to shift the current balance of power. Let’s take a closer look at which ones make the most sense.  

Most likely: WWE

The current divide between the two parties likely has to do with WWE not wanting to continue to pay Lesnar an outrageous full-time salary for half the work. No one has been a shrewder negotiator in recent years than Lesnar who, knowing how much WWE CEO Vince McMahon lusts for his unique value, constantly threatened UFC returns to gain new leverage. 

This remains the best option for Lesnar in that he probably has another full decade in him, if the hunger was still there, to stay in great shape and crush people in scripted battles every few months while remaining wealthy and distant on his giant Canadian farm. With WWE television ratings sinking and fresh competitor AEW doing well, it’s hard to imagine McMahon will allow this to be too long of a pissing contest and risk handing over such a ratings powder keg to a competitor. 

And despite Lesnar’s WWE mystique having become a bit monotonous in recent years, there’s no shortage of great talent he hasn’t yet worked with including Big E, Aleister Black, former UFC fighter Matt Riddle, Keith Lee, Velveteen Dream, a rehash with current WWE champion Drew McIntyre or a main-event feud opposite Bray Wyatt’s “The Fiend” character. That’s not even taking into account Roman Reigns’ recent turn as a possible heel. 

Lesnar aura toujours la WWE sur qui se rabattre s’il le souhaite et à condition qu’il soit en mesure d’accepter un accord raisonnable. Mais on a peu parlé de l’histoire de Lesnar de s’ennuyer avec son statu quo à la recherche de défis difficiles (et mot-clé: compétitifs). Il est encore assez jeune d’un point de vue MMA dans une division où l’âge est rarement un problème et assez intelligent pour se rendre compte que sa marque de lutte professionnelle pourrait utiliser un peu de rafraîchissement que ce n’est pas automatique.

Très possible: UFC

La seule chose qui semblait empêcher Lesnar d’affronter Cormier dans un combat pour le titre des poids lourds qu’il n’aurait pas mérité de se retirer d’une si longue mise à pied et d’une suspension de drogue était qu’il ne pouvait pas faire en sorte que l’UFC corresponde à son prix. Il est juste de soutenir deux ans plus tard que Lesnar a plus de valeur pour ne pas être revenu dans un combat qu’il était presque destiné à perdre mal et pourrait être l’adversaire parfait pour un combat contre Jones qui semble avoir été évoqué depuis près d’une décennie.

La récente nouvelle de Jones annulant son titre des poids lourds légers pour tester les eaux de la division des poids lourds de l’UFC n’a été atténuée que par la préférence du président de l’UFC, Dana White, que l’actuel champion Stipe Miocic défende son titre ensuite dans un match revanche contre le meilleur prétendant Francis Ngannou. Si cela se passait comme prévu, Jones aurait besoin d’attendre dans l’enclos des releveurs pour le prochain coup de titre pendant qu’il prenait le temps de passer à un cadre de poids lourd. Ou il pourrait faire ses débuts dans la division avec un énorme splash contre Lesnar qui serait un blockbuster à la carte et servirait parfaitement de type d’adversaire, compte tenu de la taille et du pedigree de la lutte, pour que Jones se teste pour prouver qu’il est à l’aise. avec les grands garçons.

Bien que chaque combat de Lesnar soit une attraction, l’UFC n’a pas autant de combats de grands noms disponibles dans lesquels un argument solide pour la victoire de Lesnar reste une option. Oui, Lesnar a semblé prendre un excellent coup contre Mark Hunt lors de leur combat à l’UFC 200, mais Lesnar a également quatre ans de plus avec une tonne pour prouver qu’il peut avoir le même moteur lorsqu’il n’utilise pas de médicaments améliorant les performances.

Ce serait sauvage: AEW

C’est le plus grand mouvement de puissance que All Elite Wrestling pourrait faire du point de vue de la création d’une nouvelle guerre de lutte professionnelle pour susciter la nostalgie des fans qui ont vécu à la fin des années 1990. À moins de déplacer ses émissions phares Dynamite à lundi en face de Raw de la WWE, AEW pourrait faire très peu de mouvements comparables qui auraient un impact aussi important.

La mauvaise nouvelle, bien sûr, est que Lesnar ne correspond pas nécessairement au style, à la présentation ou au message derrière lequel AEW prospère actuellement en tant qu’alternative à la WWE alimentée par ceux dont les talents que la puissante promotion avait rejetés ou négligés. En toute honnêteté, Lesnar est le visage prototypique d’une marque de lutte dirigée par Vince McMahon en 2020 ou n’importe quelle année. Mais il y a encore ce mot, perturbateur. Lesnar accorderait à AEW un niveau de légitimité et de crédibilité dans la rue qu’un Hulk Hogan a fait autrefois en tant que Hollywood Hogan pour la WCW dans sa propre bataille pour rivaliser – et parfois dépasser – la WWE dans les classements.

À peu près n’importe quelle querelle impliquant Lesnar se sentirait fraîche, même si elle venait contre des adversaires qu’il avait déjà affrontés à la WWE (pensez à Jon Moxley et Chris Jericho) qui jouissent maintenant de libertés très différentes et d’un contrôle créatif sur leurs propres personnages. Sans oublier qu’une querelle avec Kenny Omega, considéré comme le meilleur au monde lors de ses jours de New Japan Pro-Wrestling, épaterait tout fan hardcore qui l’imaginait.

Lesnar, longtemps un joker sur le microphone, a également été muselé assez longtemps par la WWE grâce au travail incroyable de l’avocat à l’écran Paul Heyman pour entendre un trash “Beast” non scénarisé parler de ses adversaires “indépendants” sans se soucier des préoccupations comme le blasphème ou le maintien d’une atmosphère familiale pourrait être la meilleure chose qui soit. Cela ne ferait peut-être pas non plus de mal que la famille milliardaire Khan, qui possède également les Jaguars de Jacksonville de la NFL et le Fulham FC de la Premier League, pourrait probablement payer la note si elle cherchait à prendre un pari majeur.

Cela a plus de sens que vous ne le pensez: Bellator MMA

Si Lesnar a envie non seulement d’un retour au combat, mais de quelque chose de plus qu’un jour de paie unique pour se rendre au coucher du soleil, l’UFC n’a tout simplement pas beaucoup de grands noms à battre. Pour autant que la fin de la carrière de Lesnar ait été compromise par sa bataille de diverticulite, son jeu n’a jamais eu la chance d’évoluer bien au-delà de la lutte.

Si un gros combat est tout ce que Lesnar voulait, Bellator MMA peut certainement le fournir à Fedor Emelianenko, dont le PDG Scott Coker dit ESPN lundi est, “le combat qui n’a jamais eu lieu!” Les deux hommes sont suffisamment fanés pour que l’élément inconnu du résultat soit légitimement convaincant.

Mais même au-delà de cela, Bellator est simplement un atterrissage plus doux pour Lesnar du point de vue de lui trouver des combats créatifs dans lesquels il pourrait rester à la fois actif et réussi. Tout comme Coker l’a fait une fois avec Strikeforce pour faire correspondre Emelianenko contre Dan Henderson, il existe un certain nombre de noms éminents de catégories de poids inférieures contre lesquels Lesnar pourrait faire des combats amusants. Il n’est pas non plus hors de question que Lesnar puisse faire une course au titre des poids lourds de la promotion, actuellement porté par l’ancien champion des poids lourds légers Ryan Bader, s’il cherche à devenir le seul combattant à porter la couronne dans les deux promotions majeures.

On pourrait affirmer que depuis que Coker était à la tête de Strikeforce, quiconque avait tenté de rivaliser directement contre l’UFC. Strikeforce avait non seulement son propre contrat de jeu vidéo EA Sports et de télévision par câble avec Showtime, mais il a lancé un tournoi des poids lourds du Grand Prix du monde en 2011 qui était sans doute meilleur que l’investissement de l’UFC à l’époque dans la même division.

Strikeforce avait également le luxe de diffuser des cartes de combat majeures aux heures de grande écoute sur Crumpe, qui avait auparavant connu un succès similaire en promouvant Kimbo Slice et Elite XC. Le KO d’Emelianenko de Brett Rogers sur Crumpe en 2009, par exemple, a culminé à près de 6 millions de téléspectateurs, ce qui était similaire aux chiffres de Crumpe mis en place par Slice.

Lesnar, en raison de son attirance nostalgique et croisée, pourrait être une aubaine similaire à court terme si le même risque était pris, cette fois par Bellator, qui a des connexions de diffusion très similaires à celles de Strikeforce.

Pas si probable: New Japan Pro-Wrestling

La montée en puissance de l’AEW au cours de l’année écoulée (et le départ simultané d’Omega, des Young Bucks, etc.) a certainement détourné les plans initiaux de New Japan Pro-Wrestling pour une prise de contrôle nord-américaine. L’ajout d’un nom à temps partiel aussi coûteux ne semble pas être une solution financière idéale pour la direction de l’entreprise.

Lesnar a cependant une histoire, ayant travaillé dans la NJPW pendant deux ans entre sa sortie initiale de la WWE et sa transition d’espoir de la NFL à un combattant de MMA. Non seulement l’ancien champion des poids lourds de l’IWGP correspondait très bien au style rigide et réaliste de la marque japonaise, mais son look de destroyer américain imposant est un personnage qui ne s’est jamais démodé dans ce pays.

Ne pariez pas dessus: PFL, ONE Championship, BKFC

Le joker ici si Lesnar cherche seulement à se battre à nouveau pour le plus grand sac à main possible est de savoir si une promotion aberrante comme ONE Championship hors d’Asie pourrait parier sur les retombées d’un gain d’une nuit, en particulier sous la forme de ses débuts promotionnels aux États-Unis. .

Dans ce cas, il faut se souvenir de la perspicacité de Lesnar en tant qu’homme d’affaires avisé pour toute opportunité potentielle, grande ou petite, bien qu’il mérite le mérite d’être intelligent en limitant la fréquence à laquelle il est réellement vu à la télévision comme un moyen de conserver sa valeur. C’est ce qui rend l’idée qu’il échangerait des poings à poings nus d’autant plus improbable juste pour le salaire.

Aucune chance: retraite

Encore assez jeune pour se mettre au défi et avec autant de millions encore disponibles, il n’y a que tellement de plaisir que Lesnar peut avoir à un seul endroit à tout moment, même dans sa ferme bien-aimée. Si vous avez écouté assez attentivement ses interviews non scénarisées au fil des ans, il reste un concurrent vorace dans son cadre de 6 pieds 3 pouces et 285 livres.

Si l’argent n’était pas une grande partie de son pourquoi, Lesnar serait resté à l’écart il y a de bonnes années. Mais vous combinez sa connaissance de la façon de dessiner de grandes bourses et sa faim pour se prouver constamment qu’il est aussi dur qu’il en a l’air, et il y a très peu de raisons de croire que c’est la fin.