Lukaku marque d’entrée, la défense russe aux abois

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La grande classe de Lukaku, la solidité de la défense belge, le cauchemar de Semenov… Retrouvez les Tops et les Flops de ce match entre la Belgique et la Russie (3-0).

Tops

Romelu Lukaku, grand buteur et grand homme
19 buts sur ses 15 derniers matches en sélection. Les statistiques de l’attaquant de l’Inter avec les Diables Rouges sont tout simplement ahurissantes. Ce samedi soir, il a encore montré un sens du but impitoyable et une grande abnégation. Il ouvrait le score à la 10e minute après une erreur de la défense adverse et cueillait à froid des Russes entreprenants. Coéquipier d’Eriksen en club, il lui adressait un joli message après son but en se dirigeant directement à la camera : «Chris, Chris, I love you». Il s’offrait ensuite un doublé en fin de match, bien lancé par Thomas Meunier, et scellait la victoire des siens (88e).

La défense belge, force tranquille
Si les Russes n’ont pas fait preuve d’une justesse technique affolante, ils ne se sont pas contentés d’attendre les Diables Rouges, blottis dans leur camp. Ils ont souvent tenté de prendre à défaut cette équipe belge, en vain. Alignés à trois derrière comme d’habitude, Vertonghen, Alderweireld et Boyata ont respiré la sérénité, contrairement à leurs collègues russes. Très tranquille, cette arrière-garde du Plat Pays a su relancer proprement et offrir de bonnes conditions aux milieux de terrain.

Flops

Andrey Semenov, à la dérive
Globalement, toute la défense russe a fait un match médiocre. Mais Semenov a personifié cette déroute. Il offrait d’abord l’ouverture du score à Romelu Lukaku en laissant passer le ballon entre ses jambes (9e). En se ratant de nouveau quelques minutes plus tard, il était proche de laisser Lukaku inscrire un doublé. Heureusement pour lui, son binôme en charnière, Dzhikiya, sauvait les meubles. Sur le but du break de Meunier, Semenov ne montrait pas un sens du marquage exceptionnel. Une performance à oublier, même si ses errances se sont moins vues en seconde période.

Denis Cheryshev, fantomatique
Remplaçant au coup d’envoi, le joueur de Valence rentrait sur la pelouse à la 30e minute en remplaçant Kuzyayev, victime d’un violent choc avec Castagne. Cheryshev ne restait finalement qu’une grosse demi-heure sur le terrain de Saint-Pétersbourg, remplacé à la 63e minute. Sensation du Mondial 2018, il n’a rien réussi et n’a jamais fait de mal à la défense adverse. Clairement pas à la hauteur de l’évènement, nul doute qu’il devrait de nouveau s’asseoir sur le banc jeudi prochain face à la Finlande.

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