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De nombreux coureurs résident dans la principauté pour des raisons qui ne sont pas que fiscales.
Cycling’s coming home! En arrivant à Andorre, la tentation est grande de détourner le slogan des supporteurs de foot anglais. Car si la principauté n’a pas inventé le cyclisme, elle en est devenue depuis quelques années une terre d’asile encore plus prisée que Monaco. Pour un coureur sur cinq au départ de Brest voilà deux semaines, la journée de repos à Andorre-la-Vieille est aussi un retour à la maison: ils étaient en effet 37 sur la liste de départ à résider dans l’enclave montagneuse coincée entre la France et la Catalogne, au premier rang desquels Julian Alaphilippe, qui s’y est installé en 2018.
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«Paradis fiscal!», avoue Matt White, le manager de l’équipe australienne Bike Exchange, qui explique que quinze coureurs et coureuses de sa formation «habitent» en Andorre (les guillemets sont de lui). En réalité, la principauté n’est plus aussi avantageuse qu’elle l’a été du point de vue fiscal, même si la TVA y reste de 4,5%, mais présente d’autres atouts. Beaucoup de coureurs australiens
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